Initiation à la transcription audio : les bases

La transcription, c’est quoi ? Contrairement à ce que l’on peut croire, ce n’est pas facile de transcrire l’audio en textes. Quelles sont les différents types de transcription ? Nous allons vous éclairer sur ce métier, ce travail à part entière très souvent sous-estimer.

Qu’est-ce que la « transcription » ?

La transcription est souvent dite travail d’écriture ou dactylographie. Il constitue un élément crucial de la recherche qualitative. Au cours des travails de recherches sont souvent organisées des discussions qui doivent être enregistrés et analysées. A savoir des entretiens, des discussions de groupe ou encore des podcasts. Pour être analysées, ces conversations doivent être dactylographiées. Quand il y a du volume ou que les besoins sont professionnels, c’est généralement là qu’une agence de traduction web à Madagascar intervient. Ce travail à ne pas sous-estimer requiert en effet du savoir-faire et de l’expérience, mais surtout du temps. C’est un travail à part entière comme il existe de nombreuses directives et formes selon les besoins.

Les différents types de transcription

A ce jour, on peut classer les catégories en deux types distincts. Il y a donc la transcription textuelle et la transcription éditée. Il faut choisir selon les besoins.

La transcription littérale

La transcription littérale, qu’on appelle aussi verbatim, vise à rédigertel quel, soit comme la chose est dite. Dans ce cas, l’agent effectue une transcription lettre par lettre pendant sa rédaction.Les orateurs suivent de manière précise et complète la vidéo ou l’audio. Les interjections ainsi que les bégaiements et les mots d’interruption sont écrits littéralement. Il en va de même pour le langage familier.

Ce type de transcription requiert plus de temps le plus souvent. En effet, tout le monde ne s’exprime pas de la même manière et il se peut que les intervenants ne s’expriment pas correctement sur un plan grammatical. Les phrases peuvent devenir très longue et composer des répétitions à ne pas en finir. De ce fait, il faut plus d’écoute, de temps et d’efforts de la part du transcripteur.

On opte le plus souvent pour la transcription verbatim pour des études qualitatives durant lesquelles, l’intonation est importante, les manières de s’exprimer sont essentielle et aide mieux à la compréhension comme les recherches psychologiques ou à des fins juridiques.

Transcription éditée

On l’appelle aussi transcription « propre ». Ce type de contenu vise à concevoir des textes facilement lisible et compréhensible. L’agent ignore les mots avortés, les demi-phrases ainsi que les interjections. Le transcripteur rédige son texte de manière grammaticalement correcte. Du moins dans la mesure du possible. Ici, la conversation est reproduite sans que tout ce qui a été prononcé soit écrit. La manière dont cela est dit compte donc moins que les significations.

Cette forme de transcription est requise surtout pour les interviews pouvant servir de base à des articles et/ou documentaires. On opte aussi pour la transcription éditée dans des cas de recherches qualitatives ainsi que les réunions et les notes enregistrées.

Pourquoi faire appel à une agence spécialisée ?

L’avantage premier est le gain de temps dont vous profiter. En effet, avec peu d’expérience, la transcription peut être très lente. Déjà, il vous faut une bonne vitesse de frappe. Il vous faut également écrire correctement. Il vous faut faire des recherches pour confirmer ce qui est dit (dans le cas d’une transcription propre). Des outils adaptés et conçus spécialement pour la transcription aideront aussi, encore faut-il savoir les utiliser.